Quatre méthodes pour cultiver le bonheur et la résilience pendant ses études en droit

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Par Stéphane Fournier*

 

J’ai eu l’occasion de prendre connaissance des notes d’allocution Réussir ses études en droit : une affaire de cœur du vice-doyen Yan Campagnolo[i]. Elles sont très interpellantes et portent sur le savoir-faire des étudiantes et étudiants.

J’ai également eu l’occasion de prendre connaissance de l’article captivant Part of the Solution: Cultivating Student Well-Being in the Law School Classroom [ci-après « Part of the Solution »][ii] de la professeure Lynda Collins. Ce dernier porte également sur le savoir-faire, et présente trois catégories d’interventions dans l’enseignement du droit que les professeures et professeurs peuvent adopter pour bonifier le bien-être des étudiantes et étudiants.

Le présent billet de blogue se veut un complément à ces deux textes : il porte surtout sur le savoir-être des étudiantes et étudiants, et révèle des méthodes pour cultiver le bonheur et la résilience durant ses études en droit. Une partie importante de cette culture relève de notre contrôle[iii] et de nombreuses études révèlent qu’elle favorise l’atteinte de nos objectifs personnels[iv].

Je cultive le bonheur et la résilience depuis plus de douze ans. Durant cette période, j’ai lu et étudié plus de 100 ouvrages ainsi que plusieurs centaines d’articles sur le sujet. Je suis un avocat qui se spécialise en droit des affaires et en droit commercial applicables aux institutions financières ; cette culture a eu un impact très positif sur la qualité de mon travail, mes relations professionnelles et mes contributions en milieu de travail.

Dans ce billet de blogue, j’aborderai quatre méthodes que je pratique quotidiennement pour cultiver le bonheur et la résilience :

  • la reconnaissance,
  • choisir judicieusement le sens que l’on donne à sa vie et aux événements que l’on vit,
  • se ressourcer, et
  • méditer (dans mon cas, pratiquer la méditation transcendantale [ci-après « MT »], deux fois par jour).

J’expliquerai aussi comment, si je pouvais remonter dans le temps, j’aurais appliqué chacune de ces méthodes à mes études en droit. Ces méthodes auraient grandement enrichi mes études, par exemple, en m’aidant à surmonter des obstacles qui me semblaient infranchissables à l’époque.

La reconnaissance (aussi appelée la gratitude)

La vie n’est pas toujours facile et les études en droit ne font pas exception. Lors des premières semaines de ma première année en droit, je me réveillais tous les matins avec une nausée. Lorsqu’elle passait, des nœuds dans l’estomac la remplaçaient. Comment m’y prendre pour faire toutes ces lectures ? Un bon résumé de celles-ci, ça ressemble à quoi ? Mes interventions en salle de classe sont-elles intelligentes ?

Il est très facile de douter de soi face à l’inconnu ; j’oserais même dire que ce sentiment est normal, surtout lors de ses études et en début de carrière. Et comme l’inconnu et l’anxiété se tissent bien ensemble ! C’est aussi très facile de rester fixé sur les choses qui ne vont pas comme on le souhaite — et d’être dur envers soi-même.

Si j’avais une machine à remonter dans le temps, je rendrais visite à mon « moi étudiant » au début de la première année en droit et je lui offrirais un conseil important. Je lui conseillerais de commencer chaque jour avec un exercice d’ancrage positif dans le présent, c’est-à-dire, d’inscrire dans un journal cinq à dix choses pour lesquelles il est reconnaissant, tout en se permettant de visualiser et de ressentir chacune d’entre elles. En voici cinq exemples :

  • merci pour la ténacité qui m’a apporté jusqu’ici et qui demeure à mes côtés ;
  • merci pour mes proches, qui m’aiment, m’appuient et m’encouragent ;
  • merci pour la technologie qui rend mes études plus efficaces ;
  • merci pour mon sens de l’ouïe, qui me permet d’entendre le chant du cardinal perché près de ma fenêtre ;
  • merci pour les vêtements confortables que je porte et que je n’ai pas eu à confectionner moi-même.

Quels sont les bienfaits d’un tel exercice quotidien pour vos études en droit ? Les recherches[v] démontrent que la pratique régulière de la gratitude cultive le bonheur, la résilience, la patience et l’humilité ; promeut la santé physique et mentale ; évoque un état d’esprit de puissance et ouvre l’esprit à de nouvelles possibilités ; et renforce nos relations avec les autres.

Choisir judicieusement le sens que l’on donne à sa vie et aux événements que l’on vit

Pendant les premières semaines de ma première année en droit, je considérais mes pairs comme des compétitrices et compétiteurs. Par conséquent, je me comportais comme un joueur de poker, rusé et avare d’informations. Au contraire, un de mes pairs était sincèrement affable et généreux envers les autres dans la classe. J’ai appris, en lui parlant, que son attitude (ou savoir-être) était ancrée fermement et délibérément dans la bienveillance. Je dis bien délibérément. Cette attitude l’a conduit à être, à mon avis, le plus respecté de la classe, et ce, tout au long de nos études en droit. Ce collègue est le professeur François Larocque[vi]. Son attitude a eu un impact très significatif et positif quant à ma perception des autres et de moi-même.

Plus tard, grâce à mes lectures dans le domaine du bien-être, j’ai appris que de tels choix se retrouvent dans plusieurs formes de psychothérapies. En fait, c’est mon ouvrage préféré — Découvrir un sens à sa vie[vii] du psychiatre Viktor E. Frankl (1905-1997) — que j’ai lu à plusieurs reprises et auquel je ne cesse de retourner, qui m’a permis de constater les fondements scientifiques des choix que nous avons d’accorder un sens ou un autre à la vie.

Le docteur Frankl a prouvé ses hypothèses quant à la liberté humaine et le sens de la vie dans des circonstances extrêmement difficiles : il subit trois ans d’emprisonnement dans des camps de concentration nazis lors de la Deuxième Guerre mondiale. Il a observé, par exemple, des prisonnières aller de baraque en baraque pour consoler leurs pairs et leur offrir des morceaux de pain qu’elles auraient pu manger elles-mêmes. Selon lui, ces cas, parmi d’autres, « nous apportent la preuve qu’on peut tout enlever à un [être humain] excepté une chose, la dernière des libertés humaines : celle de décider de sa conduite, quelles que soient les circonstances dans lesquelles il se trouve » [nos italiques][viii].

Selon le docteur Frankl :

  • La réalité de chacune et chacun est souvent malléable en raison de notre liberté de donner un sens à la vie, y compris à la sienne et aux événements que l’on vit.
  • Cette liberté s’accompagne d’une responsabilité : celle de « trouver les bonnes réponses aux problèmes [que la vie] nous pose et à nous acquitter honnêtement des tâches qu’elle nous assigne» [nos italiques][ix]. Il est inutile de demander pourquoi à la vie ; c’est une pratique à éviter. C’est plutôt la vie qui nous pose cette question.
  • La prise de conscience et la prise en main de cette responsabilité par une personne transforment chez elle le sens de la vie. Par exemple, elle transforme des défis en des occasions.

À titre d’illustration, avant d’étudier en droit, mes notes universitaires figuraient souvent dans les A. La note que j’ai obtenue à mon tout premier examen en droit ? Un C ! Mais pourquoi, me suis-je demandé à l’époque. J’ai travaillé si fort pour me rendre ici ! Et je me suis bel et bien rendu ici. Alors pourquoi un C ? En fait, je m’attendais à une note bien en deçà de celles auxquelles j’étais habitué puisque je n’avais pas réussi à compléter l’examen. Je connaissais bien la matière, mais je n’avais pas pris le temps de la synthétiser (un élément essentiel d’une bonne préparation aux examens en droit), et j’ai donc manqué de temps lors de l’examen. En rétrospective, la vie me posait deux questions : Ton approche du passé, Stéphane, de simplement comprendre la matière, devrait-elle changer ? Est-ce une occasion d’adapter ta façon de faire, en vue de devenir avocat ? Les mots de Nelson Mandela, le premier président noir de l’Afrique du Sud, m’auraient bien réconforté durant cette période : « Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j’apprends »[x].

Se ressourcer

Vers la mi-novembre de ma première année en droit, je me sentais à bout de souffle et à bout de force. Afin de mettre plus (en fait, trop) de temps envers mes études, j’avais mis de côté mes loisirs préférés — des activités qui, en rétrospective, me ressourçaient — depuis le début de l’année scolaire. Ce n’est plus le temps pour le ludique, m’étais-je dit en septembre. Il faut que je me concentre à cent pour cent sur mes études.

Certaines personnes, comme l’entrepreneur Elon Musk, ont une constitution qui leur permet de travailler ou d’étudier 80 heures par semaine, de façon constante. Ce n’est pas le cas pour moi : tout miser sur le travail ou les études, ça va pour un temps, mais pas indéfiniment.

C’est tout à fait vrai qu’il faut du sérieux pour bien réussir ses études en droit. Dans mon cas, j’ai appris que cela comprenait la prise au sérieux de qui je suis et où j’en suis. Par « qui je suis », j’entends, dans le présent contexte, des activités qui me ressourcent, qui mettent du vent dans mes voiles. Par « où j’en suis », j’entends être à l’affût des messages que me communiquent mon corps (par exemple, a-t-il besoin d’une activité qui ressource ou d’un simple répit ?).

Si j’avais une machine à remonter dans le temps, je rendrais visite à mon « moi étudiant », encore une fois au début de la première année en droit et je l’implorerais non seulement de ne pas mettre de côté les activités qui le ressourcent, mais aussi de les entreprendre quotidiennement ou presque. Dans le marathon que sont les études en droit, de telles activités sont équivalentes à se maintenir hydraté et à maintenir un rythme soutenu. Si le « moi étudiant » exprimerait des doutes à ce sujet, je lui citerais les maintes études (qui sont à venir) qui démontrent la corrélation positive entre le fait de pratiquer régulièrement des loisirs, d’une part, et la bonne santé mentale et la saine gestion du stress, d’autre part[xi]. S’il éprouvait des remords parce qu’il ne se consacrait pas pleinement à ses études, je lui ferais part des mots sages d’un de mes mentors : « Je ne joue pas au tennis parce que j’ai le temps. Je joue plutôt au tennis, car cela me donne du temps. Cette activité, que j’adore, à la fois me ressource et me rend beaucoup plus efficace, et me donne beaucoup plus d’énergie à verser, dans ma vie personnelle et professionnelle ».

La méditation

Dans plusieurs des sphères de la vie étudiante et de la vie professionnelle, il faut fournir beaucoup d’effort pour atteindre l’excellence. Il peut donc sembler contre-intuitif d’obtenir de meilleurs résultats dans ces sphères en ne faisant rien ou presque rien. C’est pourtant le fondement de la quatrième pratique à laquelle je me livre quotidiennement, qui libère et exploite le pouvoir du silence, c’est-à-dire, la méditation.

La méditation prend plusieurs formes. Dans Part of the Solution, la professeure Collins met en lumière la méditation de pleine conscience, qui consiste à prendre pleinement conscience du moment présent (c’est-à-dire nos pensées, nos sentiments, nos sensations corporelles et notre environnement), et ce, sans porter de jugement ou poser d’étiquette. La professeure Collins présente les nombreux bienfaits de cette forme de méditation[xii] — comme l’amélioration du bien-être physique et émotionnel (en augmentant la résilience et en diminuant la perception du stress) et de la créativité — et des pistes pour la pratiquer[xiii].

Pour ma part, la forme de méditation que je pratique est la MT.  La MT « se sert de la tendance naturelle du mental à chercher une plus grande satisfaction et [grâce à un mantra que l’on répète, elle] dirige l’attention vers l’intérieur, ce qui se produit instantanément, automatiquement et sans effort »[xiv]. Je la décrirais comme une rencontre avec soi-même ou son être ; elle est parfois très profonde et d’autres fois plus superficielle, mais elle me laisse toujours l’esprit rafraîchi. C’est la vidéo suivante de Jerry Seinfeld, le légendaire humoriste américain, qui m’a mis sur la piste de la MT[xv]. C’est aussi la forme de méditation que pratique le grand investisseur américain Ray Dalio.[xvi] Les bienfaits de la MT sont semblables à ceux de la méditation de pleine conscience décrits dans Part of the Solution[xvii].

 Si je pouvais remonter dans le temps, j’implorerais mon « moi étudiant » en droit de se tourner vers la méditation comme une méthode très puissante de cultiver le bonheur et la résilience. Je lui expliquerais que la forme de méditation importe beaucoup moins que le fait de méditer régulièrement. Je lui expliquerais que bien que cette méthode soit en marge à l’heure actuelle (rappelez-vous, je suis remonté dans le temps), dans l’avenir, elle deviendra pratique courante dans la Silicon Valley[xviii] en raison de ses bienfaits.

Voilà donc les quatre méthodes pour cultiver le bonheur et la résilience auxquelles je me livre quotidiennement et que j’aurais tant aimé connaître et pratiquer dès ma première année en droit. Ce ne sont pas les seules méthodes pour cultiver le bonheur et la résilience ; il y en existe bien d’autres. Je vous signale simplement celles que je privilégie et je vous invite à les explorer. Si l’idée d’explorer les quatre méthodes simultanément vous fait sentir dépassé, je vous suggère d’en essayer une à la fois.

Il peut sembler contre-intuitif de pouvoir obtenir de meilleurs résultats dans ses études en droit en se livrant à des pratiques qui n’ont pas (ou qui ont très peu) de liens avec la vie étudiante. C’est pourtant là que réside leur puissance : ce sont de courtes périodes où l’on passe du mode réactif (c’est-à-dire le mode où l’on répond aux échéanciers, aux consignes et aux demandes établis par les autres) au mode « reprise de contrôle ».

Sur ce, je vous souhaite, chères étudiantes et chers étudiants, franc succès dans vos études et dans l’atteinte de vos objectifs de carrière et personnels.

* Stéphane Fournier est professeur à temps partiel à la Section de common law de la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa. Il remercie le vice-doyen Yan Campagnolo pour ses commentaires judicieux sur une version antérieure de ce texte.

[i] Yan Campagnolo, « Réussir ses études en droit : une affaire de cœur » (2024) 56:1 RD Ottawa 25.

[ii] Lynda Collins, « Part of the Solution: Cultivating Student Well-being in the Law School Classroom » (2024) 11 Can Leg Education Annual Rev 21.

[iii] Voir par ex Bryan Robinson, « Can You Control Your Happiness? New Study Gives A Scientific Backed Answer » (3 septembre 2020), en ligne : <forbes.com/sites/bryanrobinson/2020/09/03/can-you-control-your-happiness-new-study-gives-a-scientific-backed-answer> ; Martin EP Seligman, « Building Resilience » (avril 2011), en ligne : <hbr.org/2011/04/building-resilience> ; Leslie Riopel, « Resilience Examples: What Key Skills Make You Resilient? » (20 janvier 2019) en ligne : <positivepsychology.com/resilience-skills>. Je présume, pour ces fins, qu’il s’agit d’une personne en bonne santé mentale. Je reconnais qu’une personne en situation de dépression, à titre d’exemple, n’a pas de tel contrôle ou en a moins qu’une personne en bonne santé mentale.

[iv] Voir par ex Mayo Clinic Staff, « Resilience: Build Skills to Endure Hardship » (23 décembre 2023), en ligne : <mayoclinic.org/tests-procedures/resilience-training/in-depth/resilience/art-20046311> ; Jim Purcell, « Resilience: The Key To Future Business Success » (14 sept 2020), en ligne : <forbes.com/sites/jimpurcell/2020/09/14/resilience-the-key-to-future-business-success> ; Michael Neenan, Developing Resilience: A Cognitive-Behavioural Approach, 2e éd, Abingdon (R-U), Routledge, 2017 ; Arthur C Brooks, « If You Want Success, Pursue Happiness » (13 octobre 2002), en ligne : <theatlantic.com/family/archive/2022/10/prioritizing-happiness-before-success/671714>. Dans son allocution, le professeur Campagnolo, supra note 1, cite les mots suivants du philosophe alsacien Albert Schweitzer : « [l]e succès n’est pas la clé du bonheur. Le bonheur est la clé du succès. Si vous aimez ce que vous faites, vous réussirez », citant Fabien Branchut, « Le Parisien : Citation célèbre – Albert Schweitzer » (dernière consultation le 28 août 2024), en ligne : <citation-celebre.leparisien.fr/citations/199690>.

[v] Voir par ex Anne-Laure Gannac, « La gratitude ça fait du bien » (dernière modification le 12 mars 2020), en ligne : <psychologies.com/Moi/Moi-et-les-autres/Relationnel/Articles-et-Dossiers/Dire-merci/La-gratitude-ca-fait-du-bien> ; Rébecca Shankland, « La psychologie de la gratitude » dans Jacques Lecomte, dir, Introduction à la psychologie positive, Paris, Dunod, 2014, 167 ; Madhuleena Roy Chowdhury, « The Neuroscience of Gratitude and Effects on the Brain » (9 avril 2019), en ligne : <positivepsychology.com/neuroscience-of-gratitude> ; Christina Caron, « Gratitude Really Is Good for You: Here’s What the Science Shows » (dernière modification le 20 novembre 2023), en ligne : <nytimes.com/2023/06/08/well/mind/gratitude-health-benefits.html> ; Robert A Emmons et Michael E McCullough, « Counting Blessings Versus Burdens: An Experimental Investigation of Gratitude and Subjective Well-Being in Daily Life » (2003) 84:2 J Personality & Soc Psychology 377 ; Summer Allen, « The Science of Gratitude » (mai 2018), en ligne (pdf) : <ggsc.berkeley.edu/images/uploads/GGSC-JTF_White_Paper-Gratitude-FINAL.pdf>.

[vi] Le professeur Larocque a accepté que je le nomme dans le présent texte.

[vii] Viktor Emil Frankl, Découvrir un sens à sa vie, traduit par Clifford J Bacon, Montréal, Les Éditions de l’Homme, 1988, en ligne : <archive.org/details/decouvrirunsenss0000fran>.

[viii] Ibid à la p 81.

[ix] Ibid à la p 92.

[x] Fabien Branchut, « Le Parisien : Citation célèbre – Nelson Mandela » (dernière consultation le 28 août 2024), en ligne : <citation-celebre.leparisien.fr/citations/196386>.

[xi] Voir par ex Sarah D Pressman et al, « Association of Enjoyable Leisure Activities With Psychological and Physical Well-Being » (2009) 71:7 Psychosomatic Medicine 725 ; Elizabeth Scott, « Why Are Hobbies Important for Stress Relief? » (dernière modification le 26 octobre 2023), en ligne : <verywellmind.com/the-importance-of-hobbies-for-stress-relief-3144574> ; Dorota Weziak-Bialowolska et al, « Mind-Stimulating Leisure Activities: Prospective Associations with Health, Wellbeing, and Longevity » (2023) 11 Frontiers Pub Health, en ligne : <doi.org/10.3389/fpubh.2023.1117822>.

[xii] Collins, supra note 2 aux pp 30–31.

[xiii] Ibid aux pp 38–39.

[xiv] Bob Roth, La force du silence : les bienfaits de la méditation transcendantale, Paris, Trédaniel Guy, 2019 à la p 41.

[xv] David Lynch Foundation, « Jerry Seinfeld Talks Transcendental Meditation at David Lynch Foundation Gala » (30 décembre 2013) à 9m:47s, en ligne (vidéo) : <youtube.com/watch?v=uh7Yru3cHoA&t=587s>. Dans la vidéo, Seinfeld fait allusion à « TM », le sigle pour « transcendental meditation ».

[xvi] Jade Scipioni, « Billionaire Ray Dalio Credits His Success to 40 Minutes of Meditation per Day – Here’s How He Does It » (18 décembre 2021), en ligne : <cnbc.com/2021/12/18/billionaire-ray-dalio-how-transcendental-meditation-helps-me-succeed.html>.

[xvii] Pour des articles récents qui portent sur les bienfaits de la MT, voir Catherine Aquino-Russell, Khaldoun M Aldiabat et Enam A Alsrayheen, « Experiences of Advanced Standing Program Nursing Students and Instructors Practicing Transcendental Meditation » (2023) 7:3 Am J Qualitative Research 32 ; Mark S Nestor, Alec Lawson et Daniel Fischer, « Improving the Mental Health and Well-Being of Healthcare Providers Using the Transcendental Meditation Technique During the COVID-19 Pandemic: A Parallel Population Study » (2023) 18:3 PLOS One, en ligne : <doi.org/10.1371/journal.pone.0265046>.

[xviii] Noah Shachtman, « In Silicon Valley, Meditation Is No Fad. It Could Make Your Career » (18 juin 2013), en ligne : <wired.com/2013/06/meditation-mindfulness-silicon-valley> ; Michelle K Nielsen, « Meditation – The New Secret Weapon of the Ultra Successful » (26 septembre 2013), en ligne : <huffingtonpost.co.uk/dr-michelle-k-nielsen/meditation-secret-to-success_b_3988497.html>.